lunes, 30 de agosto de 2010

I am quite dead

It is monstrous, a young boy seeing his mother like that. I would have given my life Lawrence, that you hadn't found us that night. You must believe me when I tell you this Lawrence. You do believe me, don't you? I loved your mother with a passion like the burning of the sun. Her death finished me, I was devastated. But I still prowl the house at night, searching for her. But I'm dead all the same. Look into my eyes Lawrence, you see that I am quite dead.

The Wolfman (2010) by Joe Johnston

I will love you, until the day I die!

Time is like a wheel. Turning and turning - never stopping. And the woods are the center; the hub of the wheel. It began the first week of summer, a strange and breathless time when accident, or fate, bring lives together. When people are led to do things, they've never done before. On this summersday, not so very long ago, the wheel set lives in motion in mysterious ways. It set Mae Tuck out in her wagon for the village of Tree Gap to meet her two sons as she did once every ten years.

Tuck Everlasting (2002) Jay Russell

lunes, 23 de agosto de 2010

I shall have to make you wings

Danielle: A bird may love a fish, signore, but where will they live?
Leonardo da Vinci: Then I shall have to make you wings.

Ever After a Cinderella Story (1998) by Andy Tennant

jueves, 19 de agosto de 2010

Chica Sexy

miércoles, 18 de agosto de 2010

Parfois, le vendredi soir, Amélie va au cinéma

J’aime bien me retourner dans le noir et contempler le visage des autres spectateurs. Et puis j’aime bien repérer le petit détail que personne ne verra jamais. Par conter, j’aime pas dans les vieux films américains, quand les conducteurs ne regardent pas la route.

Le Fabuleux Destin D'Amelie Poulain (2001) Jean-Pierre Jeunet

Il aime et il n'aime pas

Raphaël Poulain n’aime pas : Pisser à côté de quelqu’un. Il n’aime pas surprendre sur ses sandales un regard de dédain. Sortir de l’eau et sentir coller son maillot de bain.
Raphaël Poulain aime : Arracher de grands morceaux de papier peint. Aligner toutes ses chaussures et les cirer avec soin. Vider sa boîte à outils, bien la nettoyer, et tout ranger enfin.


Amandine Poulain n’aime pas : Avoir les doigts plissés par l’eau chaude du bain. Être par quelqu’un qu’elle n’aime pas, effleurée de la main. Avoir les plis des draps imprimés sur la joue le matin.
Amandine Poulain aime : Les costumes des patineurs artistiques sur TF1, faire briller le parquet avec des patins, vider son sac à main, bien le nettoyer, et tout ranger enfin.

Elle, c’est Suzanne, la patronne. Elle aime : les sportifs qui pleurent de déception.
Elle n’aime pas : voir dans son café un homme se faire humilier devant son enfant.

Georgette, la malade imaginaire. Celle-là n’aime pas entendre : le fruit de vos entrailles est béni.

Gina, la collègue d’Amélie. Ce qu’elle aime, c’est faire craquer les os.

Hipolito, l’écrivain raté. Lui, ce qu’il aime par-dessus tout, c’est voir à la télé un toréador se fait encorner.

Joseph, un amant jaloux éconduit par Gina. La seule chose que celui-là aime, c’est crever les pustules des emballages en plastique.

Philomène aime le bruit du bol d’eau, sur le carrelage.
Rodrigue quant à lui, aime être présent quand on raconte des histoires aux enfants.

Le Fabuleux Destin D'Amelie Poulain (2001) Jean-Pierre Jeunet

domingo, 15 de agosto de 2010

You'll never leave this island

Which would be worse, to live as a monster, or to die as a good man?

Shutter Island (2010) by Martin Scorsese

sábado, 14 de agosto de 2010

Amélie continue à se réfugier dans la solitude

Les jours, les mois, puis les années passent. Le monde extérieur paraît si mort qu'Amélie préfère rêver sa vie en attendant d'avoir l'âge de partir

Le temps n'a rien changé. Amélie continue à se réfugier dans la solitude. Elle prend plaisir à se poser des questions idiotes sur le monde ou sur cette ville qui s'étend là sous ses yeux.

Le Fabuleux Destin D'Amelie Poulain (2001) Jean-Pierre Jeunet

viernes, 13 de agosto de 2010

The man was left by himself, incomplete and all alone.

OLD KIM: Snuggle in, sweetie. It's cold out there.

GRANDDAUGHTER: Why is it snowing, grandma? Where does it come from?
OLD KIM: Oh, that's a long story, sweetheart.
GRANDDAUGHTER: I want to hear.
OLD KIM: Oh, not tonight. Go to sleep.
GRANDDAUGHTER: I'm not sleepy. Tell me, please.
OLD KIM: Well, all right. Let's see. I guess it would have to start with scissors.
GRANDDAUGHTER: Scissors?
OLD KIM: Well, there are all kinds of scissors. And once there was even a man who had scissors for hands.
GRANDDAUGHTER: A man?
OLD KIM: Yes.
GRANDDAUGHTER: Hands, scissors?
OLD KIM: No, scissorhands. You know the mansion on top of the mountain?
GRANDDAUGHTER: It's haunted.
OLD KIM: Well, a long time ago, an inventor lived in that mansion. He made many things, I suppose. He also created a man. He gave him inside, a heart, a brain, everything. Well, almost everything. You see, the inventor was very old. He died before he got to finish the man he invented. So the man was left by himself, incomplete and all alone.
GRANDDAUGHTER: He didn't have a name?
OLD KIM: Of course, he had a name. His name was Edward.

Edward Scissorhands (1990) by Tim Burton

Lemony Snicket's: Una serie de catastróficas desdichas

Querido lector: Siento decirte que el libro que tienes en las manos es extremadamente desagradable. Cuenta una triste historia acerca de tres niños con muy mala suerte. Aunque son encantadores y muy listos, los hermanos Baudelaire llevan una vida llena de desgracias e infortunios. Ya desde la primera página de este libro, cuando los niños están en la playa y reciben terribles noticias, y a lo largo de toda la historia, todo tipo de desastres les van pisando los talones. Casi se podría decir que tienen imán para las catástrofes.

Sólo en este librito tan corto, los tres jóvenes y simpáticos niños se enfrentan a un codicioso y repulsivo malvado, se ven obligados a llevar ropa que pica, sobreviven al desastre de un pavoroso incendio, a un complot para despojarlos de su fortuna y a tener que tomar gachas frías para el desayuno.

Yo tengo la triste obligación de escribir estos desagradables acontecimientos, pero a ti nada te impide cerrar inmediatamente este libro y leer algo más alegre, si eso es lo que prefieres.

Con todo mi respeto, Lemony Snicket.

miércoles, 11 de agosto de 2010

Amélie a six ans

Amélie a six ans. Comme toutes les petites filles, elle aimerait que son père la serre dans ses bras de temps en temps. Mais il n'a de contact physique avec elle qu'au cours de l'examen médical mensuel. La fillette, bouleversée par cette intimité exceptionnelle, ne peut empêcher son coeur de battre la chamade. Dès lors, son père la croit victime d'une anomalie cardiaque. A cause de cette maladie fictive, la petite Amélie ne va pas à l'école. C'est sa mère qui lui tient lieu de préceptrice. Privée du contact des autres enfants, ballotée entre la fébrilité de sa mère et la distance glaciale de son père, Amélie n'a de refuge que dans le monde qu'elle invente. Dans ce monde, les disques vynils sont fabriqués comme des crêpes. Et la femme du voisin, dans le coma depuis des mois, a en réalité choisi d'effectuer d'une traite la totalité de ses heures de sommeil. Le seul ami d'Amélie s'appelle 'le cachalot'. Malheureusement, l'ambiance familiale a rendu le poisson rouge neurasthénique et suicidaire.

Le Fabuleux Destin D'Amelie Poulain (2001) Jean-Pierre Jeunet

Et moi je vous laisse ici. Au revoir.

Venez j’vais vous aider. On descend. Et Hop c’est parti !
Là on croise la veuve du tambour de la fanfare.
Elle porte l’apparence de son mari depuis qu’il est mort.
Attention Hop ! Tiens l’enseigne de la boucherie chevaline a perdu une oreille.
Ce rire c’est celui du mari de la fleuriste, il a des petites rides
de malice au coin des yeux.

Oh dans la vitrine de la pâtisserie y’a des sucettes pierrot Gourmand !
Humm vous sentez ce parfum ?
C’est Péponne qui fait goûter ses melons aux clients.
Ah, chez Marion, ils font de la glace aux calissons.
On passe devant la charcuterie : 79 le jambon à l’os, 45 le travers demi sec.
On arrive chez le fromager 12,90 les picotouls de l’Ardèche
et 23,90 le capitoul du Poitou.
Chez le boucher, il y a un bébé qui regarde
un chien qui regarde les poulets rôtis.

Voilà, maintenant on est devant le petit kiosque à journaux,
juste devant l’entrée du métro.Et moi je vous laisse ici.
Au revoir.


Le Fabuleux Destin D'Amelie Poulain (2001) Jean-Pierre Jeunet

viernes, 6 de agosto de 2010

Bram Stoker's Dracula

Drácula (mejor conocida como Drácula, de Bram Stoker)1 es una película estadounidense de los géneros de terror y romance, rodada en 1992 por el director Francis Ford Coppola y escrita por James V. Hart, basándose en la novela Drácula, original de Bram Stoker.

Esta película es una de las múltiples adaptaciones cinematográficas de la novela de Stoker, pero está considerada como su adaptación oficial, ya que es la película más fiel a la novela, además de introducir en ella a personajes que nunca se adaptaron en versiones anteriores como Quincey P. Morris, o Arthur Holmwood.

La historia nos relata la historia del conde Drácula, un antiguo voivoda y líder de un gran ejército valaco, que reside en un viejo castillo de los Cárpatos, en Transilvania. El conde es un no muerto, es decir, un vampiro, cuyo único alimento es la sangre humana. Este ser tiene el poder de manejar a su antojo la fauna de la naturaleza, poder convertirse en niebla, volar, e incluso adaptar la forma de un murciélago o un lobo. En esta película, se nos muestra un Drácula más romántico que monstruoso, ya que vemos como pierde a su amada trágicamente y después se enamorara perdidamente de Mina Harker, y vemos como ambos entran en una profunda historia de amor platónico.

Ha habido mucha controversia acerca de la lealtad al libro del guión de Hart, pero mayoritariamente, la obra está muy bien expresada a nivel cinematográfico y es bastante fiel a la novela. Por tanto, actualmente es considerada la mejor adaptación de la novela que se ha hecho, ya que aparecen en ella todos los personajes pertenecientes a la obra de Stoker.

La película cuenta con un amplio reparto de actores, ya que Hollywood quiso contratar a buenos actores para llevar todos los personajes de esta obra. Se cuentan con actores como Gary Oldman, Keanu Reeves, Anthony Hopkins y Winona Ryder. Además, este supuso el debut cinematográfico de Mónica Bellucci, quien interpreta a una de las vampiresas que Drácula tiene en su castillo.

Gary Oldman: Interpreta al conde Drácula. Oldman nos muestra varias facetas del conde en el filme: el monstruo asesino, el anciano curtido en experiencia, y el caballero romántico. Al comienzo de la película, aparece como un guerrero despiadado, cuando transcurre la cinta encontramos a un anciano de pelo blanco que asusta, y después, Drácula se transforma en un caballero misterioso, ataviado con un traje gris, que intenta seducir a Mina de la forma más dulce y tierna. Y mezclándose con la historia de amor que Francis Ford Coppola nos reproduce, tenemos al asesino vampiro que consume a Lucy, al monstruo que bebe sangre y que esconde la más horrible de las criaturas. Muchos dicen que la caracterización de Oldman estuvo tan bien, que era capaz de enamorar y asustar al mismo tiempo, dándole un toque misterioso a la interpretación. Oldman trabajó muy a fondo este personaje, y estudió los diálogos en toda su extensión posible, ya que si olvidaba una frase, quería volver a repetir la toma para poder plasmar todo el diálogo entero. Leyó la novela entera y también ensayó una voz con cierto tono pavoroso y desgarrador para el "Drácula anciano", y así darle un tono más terrorífico al personaje. Oldman también tuvo que sobreponerse a largas horas de maquillaje para poderse caracterizar con el aspecto monstruoso del conde. Los maquilladores del actor, llegaron a estar más de 5 horas trabajando todo el físico del conde.

Dracula (1993) Trailer

jueves, 5 de agosto de 2010

Losing it

miércoles, 4 de agosto de 2010

Up your ziggy with a wa-wa brush

Right. Just imagine, we'll have to wash our hair every night. We'll have to sleep on rollers til our scalps bleed. Then we'll have to get up at six every morning for the comb out. Your lungs will be lined with hairspray. Then you need all this equipment to push up the tits and blitz the zits and spray the pits! Then you stagger into class and you look perfect but you're exhausted, you're too tired to even think but that's okay the teachers they won't call on you anyway, also you don't want to be smarter
than the boys. They don't like that, so to wake yourself up you drink some coffee at lunch but don't eat the food. You'll be a permanent diet!

They're just boys Verena, not communists.

I'm not going to live in the shadow of the hairy bird.

Tinka Parker: Look, Von Stefan. I know you like this place the way it is, but wake up. It's not real life. Real life is boy, girl, boy, girl.
Verena Von Stefan: No, real life is boy *on top* of girl.

I've been thinking, perhaps they are like dogs. If we don't take them in, they run wild and are a danger to society.

All I wanna do (1998) Sarah Kernochan

Luz de mi vida, fuego de mis entrañas

Lolita, luz de mi vida, fuego de mis entrañas. Pecado mío, alma mía. Lo-li-ta: la punta de la lengua emprende un viaje de tres pasos desde el borde del paladar para apoyarse, en el tercero, en el borde de los dientes. Lo. Li. Ta.
Era Lo, sencillamente Lo, por la mañana, un metro cuarenta y ocho de estatura con pies descalzos. Era Lola con pantalones. Era Dolly en la escuela. Era Dolores cuando firmaba. Pero en mis brazos era siempre Lolita.

Lolita (1997) by Adrian Lyne

Democracia

Jack Nicholson

The name Jack Nicholson has become synonymous with remarkable acting talent, maverick personality, and cinematic versatility. A consummate performer, Jack has made his reputation on a series of demanding roles--each uniquely eccentric--that explore man adrift in a hostile or indifferent world. Film Comment contributor Beverly Walker wrote that, time after time, Jack "has evoked empathy and identification with characters whose actions and attitudes are repellent or obstreperous....Many of [his] films have pushed at the outer edges of what mainstream society can tolerate. This...is part of his mystique."

Jack's appeal has never been based solely on his physical appearance, so he has avoided the stereotyping that traps so many of Hollywood's leading men. As he has aged, so too have his characters; where once he played agitated younger men, he now exalts in the special dilemmas of later life.

Jack told the New York Times Magazine: "I like to play people that haven't existed yet, a future something, a cusp character. I have that creative yearning. Much in the way Chagall flies figures into the air--once it becomes part of the conventional wisdom, it doesn't seem particularly adventurous or weird or wild." "Adventurous," "weird," and "wild" certainly describe many of Jack's memorable characters; but his approach to his craft is conventional, based on years of training and a predisposition to analysis and investigation. Rosenbaum characterized Jack as "one of those fanatic believers in the method and mystique of the craft of acting, an actor who, even during the dozen lean years in Hollywood when he was doing only B pictures, D pictures, biker epics and schlock, would nonetheless devotedly go from acting teacher to acting teacher seeking truth the way others of his generation would go from guru to guru or shrink to shrink....If Jack's film persona tends toward world-weary disillusion and cool cynicism, Jack himself is still the kind of excitable acting-theory enthusiast who is capable of great earnestness on the subject."

Natural as he may appear on the screen, Jack brings careful preparation to each part. His overall estimation of acting is also based on intellectual discoveries. "You know," he told Rosenbaum, "they say it takes 20 years at a minimum to make an actor, a full actor, and that's the stage I'm talking about. After you've got some kind of idea of how your instrument is, after you have developed some kind of idea thematically of what you think you're about, after you've got some kind of ease with the craft, then possibly you might have some style." Jack himself might serve as the perfect embodiment of his twenty-year plan: a long apprenticeship and much self-searching contributed to the effortless, stylish performances he is able to give today.